PARTRIDGE GAME FARM ATTACKED.

11th October, France.

received anonymously via email:

“(FRENCH BELOW)

Being great adepts of night walks in the woods (where we often find facilities belonging to awful humans scumbags like our target today), in the middle of the night in the center of France we stumbled upon giant pens where partridges destined to be massacred by hunters were sequestered.
We decided to help them escape on the night of October 10-11.

Surprisingly, animalists tags were already visible on the spot (maybe the breeder appreciated this protest deco?), we were indeed not the first ones to visit this piece of shit.

Armed with our courage and our legendary activists tools (cutting pliers) here we are, cutting the fence with determination. After this laborious work, we realized 5 minutes later that there was in fact an unlocked door heading to the pen 2 meters away… Well, shit happens. Without further ado, we are working with cutters to dismantle the net overhanging the prison.
Once this task is over we continue our visit, opening each door we meet on our way and also taking the time to pursue our cutting workshop on another enclosure.

After having screwed up the place, we put on our inner decorator cap and started to show our artistic spirit by adding modestly “AGAIN” on the already existing work left by the previous comrades who wrote ” ALF SAYS HI “.

Our main goal was to ensure the release of as many people as possible from this sordid place, so we helped the partridges to take flight by guiding them out of their prisons and we saw hundreds of them escaping towards the forest.

We hope that after these few visits, the torturers who exploit these people will fall asleep fearing our next assault. As long as there are hunters, people will be needed to hunt them.

If it’s not you, who? If not now, when ?

We must all go to the places of oppression of the exploited other animals to help them concretely and to have a chance to put an end to speciesism.

We will return.

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Etant adeptes de ballades nocturnes en forêt (on y trouve souvent des installations appartenant à d’immondes humain.e.s comme notre cible du jour), nous sommes tombé.e.s en pleine nuit dans le centre de la France sur des volières immenses où des perdrix destinées à être massacrées par des chasseur.euse.s étaient séquestrées.
Nous avons donc décidé de les aider à s’évader dans la nuit du 10 au 11 octobre.
A notre grande surprise, des tags antispécistes étaient déjà visibles sur le lieu (est-ce que l’éleveur appréciait cette déco contestataire ?), nous n’étions donc pas les premièr.e.s à rendre visite à ce déchet.
Armé.e.s de notre courage et de nos outils légendaires d’activistes (des pinces coupantes) nous voilà en train de découper le grillage de la volière avec détermination. Après ce laborieux travail, nous nous rendions compte 5 minutes plus tard qu’il y avait en fait une porte non vérouillée donnant sur l’enclos à 2 mètres de là… Bon, ça arrive. Sans plus tarder nous nous attelons, à l’aide de cutters, au démantèlement du filet surplombant la prison.
Une fois cette tâche terminée nous continuons notre petite visite, ouvrant chaque porte que nous croisons et prenant aussi le temps de poursuivre notre atelier découpage de filet sur un autre enclos.
Après avoir bien bousillé le lieu, nous enfilâmes notre casquette de décorateur.ice.s d’intérieur et nous entreprîmes de laisser notre patte artistique en ajoutant modestement “AGAIN” sur l’oeuvre déjà existante laissée par les précédent.e.s camarades qui énoncait “ALF SAYS HI”.
L’essentiel était de nous assurer de la libération d’un maximum de personnes détenu.e.s dans ce lieu sordide, nous avons donc aidé les perdrix à prendre leur envol en les guidant hors de leurs prisons et les avons vu s’échapper par centaines vers la forêt.
Nous espérons qu’après ces quelques visites, les tortionnaires qui exploitent ces personnes s’endormiront la peur au ventre en appréhendant notre prochain assaut. Tant qu’il y aura des chasseurs il faudra des gens pour les chasser.
Si ce n’est pas toi, qui ? Si ce n’est pas maintenant, quand ?
Nous devons tous.tes aller sur les lieux d’oppression des autres animaux exploités pour les aider concrètement et pour avoir une chance de mettre fin au spécisme.
Nous reviendrons.”

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